Rue des Rosiers. Le Marais juif, 1974-1975 (23 juillet 2013)
Rue des Rosiers. Le Marais juif, 1974-1975. Photographies d'Alecio de Andrade. Une exposition au musée d'art et d'histoire du Judaïsme, du 21 juillet au 6 octobre 2013.
Alecio de Andrade - M. Alter et un autre homme, 34, rue des Rosiers, 1975 |
Alecio de Andrade - Restaurant Jo Goldenberg Rue Ferdinand Duval, 1975 |
Alecio de Andrade - Rue Pavee (1975) |
Alecio de Andrade - Simone Veil lors du 30e anniversaire de la libération d'Auschwitz, à la synagogue de la Victoire (27 janvier 1975) |
Alecio de Andrade - Synagogue, “Temple nord-africain” 18, rue des Ecouffes (1974) |
Alecio-de-Andrade - Boucherie Emouna (1975) |
Alecio-de-Andrade - Célébration d'un mariage par le rabbin Charles Liché, synagogue de la place des Vosges, (1974) |
B. Traven - Le Trésor de la Sierra Madre
Le Trésor de la Sierra Madre, un livre de B. Traven publié en 1927.
"A débattre de l'enregistrement de leur titre, ils comprirent que leur statut social avait changé. Chaque once d'or supplémentaire les éloignait du prolétariat pour les rapprocher de la classe moyenne des nantis; Jusque là, ils n'avaient jamais rien possédé méritant d'être protégé des voleurs. Avec les richesses, venait le désir de les mettre à l'abri. Le monde ne ressemblait plus à celui qu'ils habitaient quelques semaines plus tôt. Ils appartenaient désormais à la minorité de l'humanité.
Ceux qu'il avaient considéré comme leurs frères de misère, ils les tenaient dorénavant pour des ennemis dont il fallait se défier. Aussi longtemps qu'ils n'avaient possédé aucun objet de valeur, ils avaient été les esclaves de leur ventre affamé et de ceux qui avaient les moyens e le remplir. Tout changeait à présent.
Ils avaient franchi le premier pas qui fait de l'homme l'esclave de son bien."
"A débattre de l'enregistrement de leur titre, ils comprirent que leur statut social avait changé. Chaque once d'or supplémentaire les éloignait du prolétariat pour les rapprocher de la classe moyenne des nantis; Jusque là, ils n'avaient jamais rien possédé méritant d'être protégé des voleurs. Avec les richesses, venait le désir de les mettre à l'abri. Le monde ne ressemblait plus à celui qu'ils habitaient quelques semaines plus tôt. Ils appartenaient désormais à la minorité de l'humanité.
Ceux qu'il avaient considéré comme leurs frères de misère, ils les tenaient dorénavant pour des ennemis dont il fallait se défier. Aussi longtemps qu'ils n'avaient possédé aucun objet de valeur, ils avaient été les esclaves de leur ventre affamé et de ceux qui avaient les moyens e le remplir. Tout changeait à présent.
Ils avaient franchi le premier pas qui fait de l'homme l'esclave de son bien."
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