Degas et le nu (12 avril 2012)

Degas et le nu, une exposition au Musée d'Orsay du 13 mars au 1er juillet 2012.















Degas - Apres le bain

Degas - Après le bain, une femme s’essuyant les pieds

Degas - Deux baigneuses sur l'herbe

Degas - Femme assise sur le rebord d' une baignoire et s'épongeant le cou

Degas - Femme au bain

Degas - Femme nue couchée sur le ventre, la tête entre les bras

Degas - Femme nue couchée

Degas - Femme nue se coiffant

Degas - Intérieur, Le viol

Degas - Le Tub

Degas - Le Tub 2

Degas - Petites filles spartiates provoquant les garçons

Degas - Scene de guerre au Moyen Age

Degas - Une femme dans une baignoire s’épongeant la jambe

Gervex - Rolla

Toulouse Lautrec - La toilette

Naissance des pieuvres (10 avril 2012)

Naissance des pieuvres, un film de Céline Sciamma sorti en salles en 2007.























38 témoins (9 avril 2012)

38 témoins, un film de Lucas Belvaux sorti en salles en 2012.
























"38 témoins commence fort. Les plans d’exposition sont puissants. Des cargos arrivent à quai. On est au Havre, avec son port, avec ses grandes rues étranges résultant de la reconstruction d’après-guerre. Le soir tombe, puis la nuit. Des gyrophares déchirent l’obscurité, des policiers se ruent dans un hall d’immeuble, le corps d’une femme ensanglantée y est découvert."
Nicolas Journet, www.critikat.com


"Yvan Attal réussit une scène : celle de l’aveu. Pour le reste, il en fait trop, le visage comme une tombe. Son Pierre ne cherche même pas à faire semblant auprès de sa concubine, à jouer un tant soit peu la comédie de la normalité. Au contraire, il arbore sa dépression comme on porte haut un étendard. De fait, jamais il n’est crédible, rarement il émeut."
Nicolas Journet, www.critikat.com


"L’apparente maîtrise pourra suffire à certains, mais il manque tout de même quelque chose à l’entreprise : de la vie. Misanthrope, le film peut l’être. Lucas Belvaux a tout à fait le droit de ne pas avoir une foi inextinguible en l’être humain. Décrire les petites lâchetés qui font la vie en société constitue même un beau sujet. Pourquoi alors croire si peu en sa qualité qu’il faut asséner les arguments par des dialogues interminables et des scènes trop appuyées (Louise qui s’égare dans les containers) ? Pourquoi faire un film sous neuroleptiques, privé d’émotion, anesthésié comme les personnages qu’il présente ? "
Nicolas Journet, www.critikat.com