Quand la lumière décline, un livre d'Eugen Ruge paru en 2011.
Beaucoup de pages pour ne pas dire grand chose. Je n'ai pas été séduit par ce roman. Une grande fresque familiale - inutilement alambiquée à mon avis - qui s'écoule sur la deuxième moitié du XXe siècle. Berlin Est, le militantisme communiste et la réunification en toile de fond... De nombreux clichés sur les illusions perdues. Bof.
Ce livre m'a fait penser d'abord au Club des incorrigibles optimistes de Jean-Michel Guenassia. Notamment par le coté "grande fresque historique et politique" et par sa narration déstructurée Mais, à part sur les premiers chapitres, on ne retrouve pas le plaisir qu'il y avait à la lecture du Guenassia.
Par ailleurs, et la sensation est bien plus déplaisante et durable, ce livre m'a également fait penser au mépris que peut avoir Houellebecq pour ses personnages. Notamment la description des deux touristes au Mexique, qui ont le malheur de vouloir se cultiver un peu.
Beaucoup de pages pour ne pas dire grand chose. Je n'ai pas été séduit par ce roman. Une grande fresque familiale - inutilement alambiquée à mon avis - qui s'écoule sur la deuxième moitié du XXe siècle. Berlin Est, le militantisme communiste et la réunification en toile de fond... De nombreux clichés sur les illusions perdues. Bof.
Ce livre m'a fait penser d'abord au Club des incorrigibles optimistes de Jean-Michel Guenassia. Notamment par le coté "grande fresque historique et politique" et par sa narration déstructurée Mais, à part sur les premiers chapitres, on ne retrouve pas le plaisir qu'il y avait à la lecture du Guenassia.
Par ailleurs, et la sensation est bien plus déplaisante et durable, ce livre m'a également fait penser au mépris que peut avoir Houellebecq pour ses personnages. Notamment la description des deux touristes au Mexique, qui ont le malheur de vouloir se cultiver un peu.